Étant donné que le prix de l’essence a explosé, voici quelques trucs, dont certains puisés sur CAA Québec, pour économiser l’essence.
$- On fait le ménage du véhicule afin de l’alléger le plus possible. On retire aussi les supports de toit s’ils sont inutilisés pour réduire la friction. Chaque 25 kg augmente de 1% la consommation.
$- On choisit un véhicule en fonction de nos besoins et nos goûts, mais on doit absolument calculer son coût d’utilisation. Entre 2 véhicules comparables, celui qui consomme le moins (souvent jusqu’à 40 %) est un choix plus judicieux.
$- La climatisation est très gourmande. En ville, il est préférable d’ouvrir les fenêtres et de fermer la clim. mais c’est l’inverse sur l’autoroute où l’effet de succion des fenêtres ouvertes coûte plus cher que le climatiseur.
$- En hiver, l’utilisation d’un chauffe-moteur améliore la consommation pour les 20 premiers km.
$- On fait ses changements d’huile à temps. Selon plusieurs mécanos, l’utilisation d’une huile synthétique minimise la friction et permet un meilleur rendement.
$- On vérifie la pression des pneus. Un pneu mal gonflé offre une plus grande résistance et use plus vite. La pression recommandée est indiquée à l’intérieur de la portière.
$- Tout doux sur l’accélérateur. Un départ rapide, c’est comme caler une bière… mais c’est le moteur qui boit !
$- Rouler à 100 km/h au lieu de 120 km/h permet de consommer 20% moins d’essence.
$- Finalement, il y a une grande différence de prix d’une station-service à l’autre et surtout d’une région à l’autre. Alors on s’informe via cet outil .
Un autre truc pour économiser sur l’essence, c’est de prendre le métro. Sauf que dans la plus grande partie du Québec, le Métro est une épicerie, pas un moyen de transport. Bien sûr il y a le vélo, mais le coffre d’outils de bien des travailleurs, l’hiver ou les grandes distances rendent son usage impossible. Le covoiturage ? Peu flexible, mais entre collègues d’une même entreprise, ça s’organise.
Bonne route